Ce bel ouvrage, écrit par des chercheurs, des experts et des intellectuels de renom, a été présenté lors d'une conférence de presse animée par Abdeljalil Lahjomri, secrétaire perpétuel de l'Académie du Royaume du Maroc, et Driss El Yazami, ancien président du Conseil national des droits de l'Homme (CNDH).
Selon les deux principaux acteurs à l'origine de cet ouvrage, "La Maison de l'Histoire du Maroc, dont la création est imminente, vise non seulement à préserver le riche patrimoine national mais à l'institutionnaliser, à le démocratiser et à le transmettre avec fierté aux générations futures".
Cet ouvrage est "un projet qui devra "interpeller notre conscience collective", a soutenu Driss El Yazami. Abdeljalil Lahjomri, qui a signé l'avant-propos du livre, le qualifie de "grand défi".
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Le livre est composé de deux volets, l'un écrit en arabe (205 page) l'autre en français (345 pages). L'ouvrage, esthétiquement illustré de belles photographies, se répartit sur un total de 327 chapitres.
Dans un message de remerciements, Driss El Yazami a estimé que "cet ouvrage et le colloque international (2012) qui l'a précédé [à Casablanca] n'ont pu être possibles sans le concours de nombreuses personnalités et institutions".
Il a cité, à ce titre, Naïma Senhadji "qui a assuré de bout en bout la préparation du colloque, Mehdi Qotbi [Fondation nationale des musées, Ndlr], Abderrahim Benhadda [Faculté des lettres et des sciences humaines de l'université Mohammed V de Rabat], Katia Azoulay, Majida Bargach, Mohamed Berrada, Ahmed Ghayet, Khalil Hachimi Idrissi, Damien Heurtebise, Jean-Claude Kupermine et Colin Miège".
Driss El Yazami a conclu ses propos en affirmant que cet ouvrage "n'aurait pu voir le jour sans l'implication de Abdeljalil Lahjomri, secrétaire perpétuel de l'Académie du Royaume du Maroc, très attentif à tout ce qui a trait à la culture et à la recherche scientifique et, aussi, sans le concours de Bachir Tamer", l'un des piliers de l'académie.
