L'éclairage de Adnan Debbarh. L’extrême droite espagnole entretient les vieux démons du colonialisme
Adnane Debbarh.
. Khalil Essalak / Le360
ChroniqueIgnacio Cembrero et Vox, dont les violons sont parfaitement accordés sur ce dossier, savent pertinemment qu’à défaut de commerce avec le Maroc, ces deux villes, Sebta et Melilla, connaîtront l’abandon, entraînant la disparition de la présence coloniale espagnole.
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