ChroniqueJ’ai été moi aussi frappé par un fqih. Mon père, muni d’un bâton, s’était rendu à son domicile et l’avait menacé de lui casser le bras qu’il avait osé porter sur moi. Il ne l’avait pas frappé mais il m’avait retiré de la petite mosquée où ce vieux pervers faisait ce qu’il voulait en toute impunité.
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