Sans surprise, en Algérie, le président sortant Abdelmadjid Tebboune a été réélu, mais au terme d’un scrutin fortement problématique. Et cela à plus d’un titre: outre les 94,65% des voix qu’il aurait ralliés, le taux de participation annoncé, de même que l’évolution du corps électoral, posent question.