Tous les articles correspondant à #Viande rouge

Alors que de récentes déclarations de responsables politiques ont créé la polémique, la BNPJ vient d’ouvrir une enquête sur des soupçons de détournement de subventions par certains importateurs de bétail. Cette revue de presse est tirée d’un article d’Al Akhbar.

Mieux organisé, plus accueillant et toujours aussi animé: le célèbre Souk L’baladia, à Casablanca, fait peau neuve. Aménagé à seulement quelques mètres de son ancien emplacement, il a gagné en modernité, tout en conservant l’identité et la cachet qui ont fait son succès. Les images.

À la veille de ramadan, qui débute ce dimanche 2 mars, les prix de la viande rouge se maintiennent à un niveau plutôt élevé sur les marchés de Casablanca, et ce, malgré une certaine faiblesse de la demande.

Il y a en Mauritanie plus de têtes de bétail que d’habitants. Et pourtant, la viande rouge reste un luxe pour beaucoup de Nouakchottois. Les autorités tentent laborieusement d’en stabiliser les prix, vainement. C’est que Ramadan approche, et l’appétit grandit.

Face à une chute importante du nombre d’animaux d’élevage, le ministre de l’Agriculture, Ahmed El Bouari, a annoncé une série de mesures d’urgence pour soutenir le secteur. Cette revue de presse est tirée d’un article du quotidien Al Akhbar.

Le ministre de l’Agriculture, Ahmed Bouari, a alerté sur la diminution du cheptel national d’ovins et de bovins, qui aurait baissé de 38% depuis 2016 en raison de la sécheresse persistante.

Bien que les résultats du recensement annuel n’aient pas encore été officiellement annoncés, des sources informées confirment une baisse d’environ un tiers des têtes de bétail pour Aïd Al-Adha, ce qui est un danger pour la stabilité du cheptel national. Certains intermédiaires en profitent pour faire pression sur les éleveurs, afin qu’ils vendent leur bétail à moindre coût. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien Al Ahdath Al Maghribia.

Malgré le recours à l’importation, les prix de la viande rouge continuent d’évoluer à des niveaux élevés à Fès, variant de 100 à 150 dirhams le kg. Ce qui est dissuasif pour les consommateurs qui boudent les boucheries, la demande ayant baissé de près de 70% selon les professionnels interrogés par Le360. Reportage.

Deux Marocains sur trois ne sont pas séduits par les viandes rouges importées, rapporte une étude du groupe Sunergia. La plupart d’entre aux préfèrent consommer local. 26% des sondés estiment que les prix n’ont pas changé. Une revue de presse du quotidien Assabah.