À l’ouverture de la 80ème session de l’Assemblée générale des Nations unies, à New York, l’occasion est propice pour des pays historiquement activistes — le Canada en tête — d’exercer une pression diplomatique afin que s’enclenche, sans délai et avec le maximum de transparence, le processus de désignation du prochain secrétaire général. Et, surtout, pour que ce poste névralgique revienne enfin à une femme.