Tous les articles correspondant à #Maroc-Algérie

Territoires marocains spoliés par l’Algérie: Tindouf, Béchar, Touat, Gourara (Hommage à Boualem Sansal)
Le Sud oranais, la Saoura incluant Béchar, Tindouf et la vaste région de Touat avec les oasis de Gourara, Tidikelt et In-Salah ont appartenu historiquement à l’Empire chérifien. Depuis des siècles, les sultans du Maroc y nommaient des représentants et les tribus locales leur prêtaient allégeance, assurant ainsi la continuité du territoire marocain jusqu’aux confins du Sahara.
Territoires marocains spoliés par l’Algérie: Oran, Tlemcen, Mascara (Hommage à Boualem Sansal)
Boualem Sansal a passé un an dans les geôles algériennes pour avoir osé exhumer une vérité trop lourde pour le pouvoir: la carte réelle du Maghreb avant la colonisation. En rappelant que l’Ouest algérien fut marocain – impôts levés par les sultans, monnaie en circulation, gouverneurs nommés depuis Fès – l’écrivain a provoqué une panique d’État. Cette chronique retrace, archives à l’appui, le fil historique qu’il a simplement refusé de sacrifier au silence.
Frontières: comment l’Algérie a dupé la Tunisie et le Maroc au lendemain des indépendances
En 1962, Alger hérite d’un pays démesuré, taillé par le colonisateur, reposant sur d’immenses territoires dépouillés à ses voisins. Plutôt que de réparer l’injustice, elle la sacralise. Aux promesses d’amitié faites à Bourguiba et à Hassan II succèdent les manœuvres, les volte-face et la spoliation pure et simple. L’Algérie indépendante, loin de rendre ce qui ne lui appartient pas, a préféré s’asseoir sur le butin de l’empire français, et prétendre être un pays-continent.
Bernard Lugan: «Les grandes puissances sont en train d’abandonner l’Algérie pour se tourner vers le Maroc car c’est un pays d’avenir»
Quelques heures avant l’adoption, le 31 octobre 2025, de la résolution 2797 du Conseil de sécurité de l’ONU consacrant «l’autonomie sous souveraineté marocaine» comme la solution la plus réalisable au conflit du Sahara, Bernard Lugan, africaniste et auteur de nombreux ouvrages consacrés à l’histoire du Maroc et de l’Algérie, a apporté son analyse pour mieux comprendre les politiques des deux pays voisins et leurs évolutions. Invité sur le plateau de la revue «Conflits», l’historien a ainsi fait le parallèle entre l’ambition économique visionnaire d’une monarchie vieille de plusieurs siècles et la situation chaotique de l’Algérie, tant d’un point de vue économique que diplomatique.
Un an après la Marche verte, le soutien indéfectible de l’Europe
Un an après la Marche verte, la diplomatie européenne ne doute plus de la légitimité du retour du Sahara occidental au Maroc. Les chancelleries occidentales participent ouvertement aux cérémonies officielles commémorant l’événement, actant ainsi la reconnaissance de fait de la souveraineté marocaine. À l’inverse, l’Algérie s’emploie alors à fabriquer un mouvement séparatiste ex nihilo, le Polisario, dans l’unique objectif de freiner l’ancrage régional du Maroc et de remodeler les équilibres du Maghreb.
Maroc-Algérie: les États-Unis annoncent un «deal» sous 60 jours, le régime d’Alger vacillant
Donnant corps à la stratégie américaine au Maghreb, surtout sur le dossier du Sahara, Steve Witkoff, émissaire de Donald Trump pour le Moyen-Orient, surgit aux côtés de Jared Kushner, le tout-puissant conseiller du président, pour annoncer un «accord de paix» entre le Maroc et l’Algérie, que Washington entend ficeler en soixante jours chrono. Groggy, pris de court et à court d’arguments, le régime d’Alger oscille entre résignation amère et crises de nerfs mal contenues.
Idir Boumertit, le heimatlos député LFI made in DZ
Parachuté en politique, Idir Boumertit incarne l’archétype du politicien franco-algérien qui mine la République de l’intérieur. Fils d’immigrés, ce «député fantôme», absentéiste et incompétent, s’épanouit en promoteur zélé de la mémoire algérienne, défenseur acharné du Polisario et allié servile d’Alger pour attaquer les symboles du Maroc, tout en affichant un antipatriotisme viscéral envers la France qui l’a nourri. Plongée dans l’abîme d’une trahison ambulante.
Comment Alger a sciemment marginalisé la Ligue arabe dans la fabrique de la cause sahraouie
Les télégrammes d’Alger et les notes de Matignon dévoilent la matrice d’une stratégie: contourner l’espace arabe, capitaliser sur l’OUA et l’ONU, et ériger le Polisario en acteur-écran. 1978–1979 marque l’instant où la fiction d’une «vraie réussite» prend le pas sur le réel.
Taha Bouhafs: du casseur LFI de banlieue au bouffon numérique du Polisario
Propulsé en France par l’affaire Benalla, adoubé par LFI puis rattrapé par la justice en 2022, Taha Bouhafs s’est reconverti en porte-voix zélé du Polisario et en patriote algérien anti-Maroc de circonstance. Portrait d’un faux héraut franco-algérien des quartiers échoué dans les marges.
La boîte noire de la diplomatie algérienne: les confidences d’Abdelmajid Adjali sur le séparatisme
Derrière le masque du discours anticolonial, l’Algérie a, dès la fin des années 1960, privilégié le maintien du Sahara sous domination espagnole, dans le but de préparer l’émergence du Polisario. Les confidences des archives d’Abdelmajid Adjali, haut fonctionnaire du ministère des Affaires étrangères algérien dans les années 1970, lèvent le voile sur une politique façonnée non par l’idéal de libération, mais par le calcul stratégique.