Contrairement à leurs homologues du Nigéria, de l’Égypte, de l’Afrique du Sud et du Kenya, les startups marocaines n’arrivent pas à séduire de nombreux investisseurs étrangers à cause de plusieurs obstacles. De la taille du marché domestique aux contraintes réglementaires, en passant par l’absence d’une législation dédiée aux fintechs et les difficultés d’accès aux marchés publics. Décryptage.