Les banques participatives souffrent d’une faible part de marché, mais celle-ci n’est pas un indicateur pertinent, vu que ces banques ont une cible particulière, indique Abderrahmane Lahlou, président de l’Académie de la finance participative. L’expert note également que leur activité reste dominée par le financement immobilier, mais s’oriente de plus en plus vers d’autres créneaux. Ces banques sont également attendues sur le segment des produits de participation aux profits et aux pertes.