Tous les articles correspondant à #élèves

La suppression progressive de l’enseignement du français dans le cycle primaire des écoles privées, décidée par une loi d’orientation adoptée en juillet 2022, provoque de nombreuses perturbations.

À Oujda, l’école de la deuxième chance offre une lueur d’espoir à de nombreux jeunes en situation de décrochage scolaire. Ce programme, qui a pour mission de lutter contre l’abandon scolaire et d’assurer une réinsertion éducative et professionnelle, connaît un succès indéniable. Reportage au centre Lalla Nezha, à Oujda.

Une semaine après la date officielle de la reprise des cours, les classes sont encore vides de leurs occupants. Les élèves ont pris l’habitude de ne reprendre le chemin de l’école que longtemps après la fin des vacances. Il est temps de s’en inquiéter.

Trois semaines après la reprise des cours, les témoignages de parents reflètent une inquiétude bien réelle: les manuels scolaires coûtent cher et doivent être renouvelés à chaque rentrée scolaire. Les parents d’élèves n’ont pas voix au chapitre.

Peur des accidents, des mauvaises rencontres, d’agressions... beaucoup de parents appréhendent les allers-retours de leurs enfants vers l’école. Malgré les engagements des autorités publiques, l’offre en transport scolaire ne répond pas encore à la forte demande. Parents, grands-parents, tuteurs sont alors obligés d’accompagner leurs enfants au prix d’une gymnastique quotidienne.

Pour les professionnels de l’éducation, le suivi de la scolarité de l’enfant ne semble plus être assuré par des parents trop souvent happés par les tracas de la vie quotidienne. Le début de l’année scolaire est l’occasion d’ouvrir un nouveau chapitre sur la relation parents-enfants.

Deux jeunes filles, passionnées de mécanique vivent avec joie leur apprentissage. Un choix de carrière peu commun lorsque l’on a à peine dix ans, mais aussi parce que la mécanique est toujours considérée en Guinée comme un métier réservé aux hommes.

Une semaine après le début de la rentrée scolaire, les parents d’élèves, nouvellement installés dans la province de Nouaceur, n’arrivent pas à les inscrire faute d’écoles et d’interlocuteurs. Cet article est tiré d’une revue de presse d’Assabah.

Depuis plusieurs années, les écoles gabonaises sont le théâtre de bagarres rangées entre élèves, de brimades contre les plus faibles, de rackets... Dans les établissements primaires et secondaires, cette problématique, qui inquiète enseignants et parents d’élèves, reste d’actualité en ce début d’année scolaire.