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Justice: la libération conditionnelle, parent pauvre de la pratique pénale au Maroc
Considérée comme l’un des mécanismes les plus adéquats pour réduire le poids de la surpopulation carcérale et faciliter la réinsertion des détenus, la libération conditionnelle tarde à trouver sa place dans la pratique pénale au Maroc. Pourquoi? Voici quelques éléments de réponse.
Libération conditionnelle: une solution à la surpopulation carcérale
Dans une allocution à un colloque du ministère de la Justice, El Hassan Daki, le président du ministère public, a rappelé l’importance du dispositif de la libération conditionnelle, afin de répondre au problème de la surpopulation carcérale, et pour mieux réhabiliter et réinsérer les prisonniers. Une revue de presse d’Al Akhbar.
Libération conditionnelle: le ministère public appelle à plus de témérité
Le nombre de personnes condamnées à des peines de prison ferme, ayant bénéficié d’une libération conditionnelle, est d’au plus 408 personnes, soit 5% des 6.972 dossiers soumis par la Délégation générale à l’Administration pénitentiaire et à la réinsertion (DGAPR) à la Direction des affaires pénales et des Grâces. Un taux qu’El Hassan Daki, le président du ministère public, juge faible, ce qui l’a incité à appeler les services concernés à faire preuve de plus d’ingéniosité pour mettre en œuvre ce mécanisme, qui permet aux condamnés de recouvrer leur liberté et de s’intégrer dignement dans la société. Une revue de presse d’Al Ahdath Al Maghribia.
Deniers publics: plainte contre des partis politiques devant la justice
Le dernier rapport relatif à l’audit des comptes des partis politiques, rendu public par la Cour des comptes, épinglant certaines formations politiques, a servi de base à l’association marocaine de protection des deniers publics pour déposer une plainte auprès du parquet général en vue d’ouvrir une enquête approfondie. Les détails dans cette revue de presse tirée du quotidien Al Akhbar.
Vers un solide front commun contre le faux et l’usage de faux dans les arts plastiques au Maroc
Une forte unanimité s’est dégagée ce lundi 5 février, lors d’une première réunion tripartite regroupant l’institution du parquet général, le ministère de la Culture et la Fondation nationale des musées, pour combattre efficacement le faux et l’usage de faux dans l’art, en particulier la peinture, a constaté Le360.