On aurait tout à gagner à s’inspirer du modèle japonais, surtout à l’heure où l’incivisme s’impose comme un sujet majeur de préoccupation. Le phénomène n’a rien de nouveau, mais il prend une ampleur préoccupante à cinq ans de la Coupe du monde. Comme à notre habitude, nous réagissons dans la précipitation, cherchant à colmater les brèches et à donner le change, au lieu de traiter le problème en profondeur. Une manière de masquer nos manquements, comme on cache la poussière sous le tapis.