Tous les articles correspondant à #auto-entrepreneur

Le seuil du chiffre d’affaires de 80.000 dirhams, au-delà duquel un taux libératoire de 30% est appliqué pour les prestations de services réalisées avec un même client, pourrait être porté à 100.000 dirhams. Une revue de presse tirée du quotidien L’Economiste.

Des profils «indépendants», estimés à 5.000 personnes, proposent leurs services de manière informelle à de grandes entreprises et se font payer via des intermédiaires. Il s’agit d’une immense fraude fiscale et le phénomène prend une ampleur considérable. Le manque à gagner fiscal et social est de l’ordre de plusieurs centaines de millions de dirhams. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien L’Economiste.

Outre les raisons techniques de la suspension de l’aide directe sociale à certaines catégories de bénéficiaires évoquées par les services compétents, l’actualisation des données informatiques révèle que de nombreuses personnes percevaient cette aide alors qu’elles n’y avaient pas droit. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien Al Ahdat Al Maghribia.

Le statut a été adopté par 615.660 personnes depuis son lancement en 2015. En face, le nombre des radiations s’élève à 118.116 dont près des trois quarts au cours des deux dernières années. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien L’Economiste.

Neuf ans après sa mise en place, le statut d’auto-entrepreneur s’est avéré un échec. Alors qu’il y avait matière à dynamiser l’économie du pays et offrir des opportunités d’emploi. Cet article est une revue de presse tirée de Challenge.

Faciliter l’accès aux marchés publics aux très petites, petites et moyennes entreprises, notamment les startups innovantes et les auto-entrepreneurs. C’est l’un des objectifs de la réforme de l’accès à la commande publique entrée en vigueur en septembre dernier. Mais la mise en œuvre de cette réforme demeure un défi. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien Le Matin du Sahara et du Maghreb?

Offrant une fiscalité simplifiée et un faible taux d’imposition, le statut de l’auto-entrepreneur a réussi à séduire plus de 4 millions de personnes depuis sa création en 2015. Mais aujourd’hui, l’attractivité de ce régime est remise en cause avec la révision de sa fiscalité. Le point avec Zakaria Fahim, président de l’Union des auto-entrepreneurs Bidaya (UAE Bidaya).

Les dispositions de la Loi de finances 2023 ont eu un impact négatif sur l’attractivité du statut d’auto-entrepreneur. Les nouvelles adhésions au régime ont connu une baisse de 34% en une année, passant de 86.023 en 2021 à 56.699 en 2022.

Les exigences administratives et les procédures fiscales découragent de nombreux entrepreneurs individuels. Et ils sont de plus en plus nombreux à rejeter une formule sur laquelle bien des espoirs étaient fondés. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien Les Inspirations Eco.