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À l’ouverture de la 80ème session de l’Assemblée générale des Nations unies, à New York, l’occasion est propice pour des pays historiquement activistes — le Canada en tête — d’exercer une pression diplomatique afin que s’enclenche, sans délai et avec le maximum de transparence, le processus de désignation du prochain secrétaire général. Et, surtout, pour que ce poste névralgique revienne enfin à une femme.

Le Conseil de sécurité de l’ONU devrait, sauf surprise, donner vendredi son feu vert au rétablissement des sanctions contre Téhéran, à quelques jours du sommet annuel de l’organisation, qui pourrait toutefois offrir une nouvelle chance aux négociations sur le programme nucléaire iranien.

Les pays occidentaux ont désormais 30 jours pour trouver une solution diplomatique à la crise du nucléaire iranien, a affirmé vendredi la cheffe de la diplomatie européenne, Kaja Kallas.

Grâce aux multiples réformes engagées par le Maroc, sous l’impulsion du roi Mohammed VI, qui a toujours été un fervent défenseur de la coopération Sud-Sud, le Maroc a pu s’ériger en un pays «pourvoyeur d’expertise et de solidarité scientifique», ainsi qu’en «partenaire de référence» de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), a assuré le directeur général de l’Agence, Rafael Mariano Grossi.

Sous la menace de nouvelles sanctions européennes, l’Iran et les émissaires européens se sont retrouvés à Istanbul pour relancer le dialogue sur le programme nucléaire iranien, dans un contexte de fortes tensions régionales. Cette reprise des pourparlers, la première depuis l’attaque israélienne de juin, constitue un moment clé pour tenter de sauver les engagements de l’accord de 2015 et éviter une escalade diplomatique et sécuritaire.

Un conseiller du guide suprême iranien a affirmé lundi que les négociations autour du programme nucléaire de l’Iran «n’auront pas lieu» si les États-Unis continuent à exiger l’abandon de l’enrichissement de l’uranium.

L’Iran a affirmé jeudi qu’aucun «plan» n’existait encore pour une reprise des négociations sur le nucléaire avec les États-Unis, contrairement à ce qu’avait annoncé Donald Trump après le cessez-le-feu qui a mis fin à 12 jours de guerre entre Téhéran et Israël.

L’Iran n’est «pas loin» de disposer de la bombe atomique, a averti le directeur général de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi, en marge d’entretiens mercredi à Téhéran.

Expert au sein de l’Agence internationale de l’énergie atomique, Khalid Laraki explique comment le Maroc se positionne comme un acteur clé de la transition énergétique mondiale, notamment avec le projet Xlinks, qui vise à relier le pays au Royaume-Uni via un réseau sous-marin d’énergie 100% renouvelable. Ce projet d’envergure, d’une valeur de 20 milliards de livres sterling, génère des opportunités économiques et sociales pour le Maroc, tout en soutenant les objectifs climatiques européens. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien L’Opinion.