Y a-t-il réellement une «tension» au Sahara marocain? C’est la question de départ que s’est posée le journaliste reporter italien, Matteo Carnieletto de son nom, venu lui-même dresser in situ l’état des lieux et en rendre compte au site d’information «Gli Occhi della Guerra (relevant du prestigieux quotidien «Il Giornale»).
Circulez, ce n’est qu’un maillon de la chaîne de mensonges colportés par la machine de propagande du Polisario, martèle le journaliste italien. Dans un reportage, réalisé à l’occasion de la récente visite du roi Mohammed VI à Dakhla, après Laâyoune et Ouarzazate, où le souverain a lancé des chantiers d’envergure au profit de la population des provinces du sud, Matteo Carnieletto non seulement n’a trouvé aucun soupçon de «tension» mais il a pu prendre la mesure du développement que le «roi itinérant» a su imprimer à cette partie chère au royaume, en l’occurrence le Sahara marocain.
Une appartenance marocaine revendiquée et assumée par la population locale, souligne l’auteur du reportage, précisant que l'identité commune est exprimée avec une «pointe d’orgueil» par les habitants des provinces sahariennes, envers et contre les VRP de la chimère séparatiste.
«Le roi du Maroc, attentif aux problèmes sociaux du royaume, a mis depuis son accession au Trône en 1999, une série de réformes politiques, dont celle relative au statut de la femme, afin d’ériger le Maroc à l’avant-garde des Nations», met-il en exergue.
Une ambition que le souverain a pu traduire dans les faits par le lancement de projets d’envergure internationale, relève encore le journaliste reporter, qui en veut pour exemples l’inauguration dernièrement à Ouarzazate de la plus grande centrale solaire au monde «Complexe Noor», l’important centre d’exploitation des phosphates à Laâyoune, ou encore la nouvelle autoroute devant relier Laâyoune à Agadir.
A Dakhla, l’heure est plutôt à la satisfaction, décrit Matteo Carnieletto. «Le roi Mohammed VI vient d’insuffler une impressionnante dynamique socio-économique créatrice de richesses locales», observe le journaliste reporter, citant en exemple l’inauguration par le souverain de la nouvelle structure portuaire dédiée à la pisciculture». «Une activité économique qui vient s’ajouter à celle générée par la promotion des sports de la glisse, qui ne cessent de renforcer l’attraction touristique d’une ville en pleine expansion urbaine».
Vous avez bien lu: une ville, comme d’ailleurs toutes les provinces sahariennes marocaines, en pleine expansion urbaine, sans toutefois sacrifier son cachet traditionnel authentique, fait valoir le journaliste reporter. Un Maroc où se tutoient, en effet, modernité et tradition. Et c’est le titre de ce reportage-témoignage.