Le ministre de la Justice et des libertés prévoit ainsi s'entretenir avec Carolyn Hardy, la présidente d'Amnesty autour des acquis réalisés au Maroc depuis 2000 allant de l'Instance équité et réconciliation (IER) à la réforme de la justice en passant par la promotion de la liberté d’expression et de la liberté d’association et de manifestation dans toutes les régions du pays.
En bon avocat, Mustapha Ramid prévoit d’expliquer que, contrairement à multiples allégations, la torture n'est pas érigée en pratique systématique et que les auteurs des cas isolés sont punis sévèrement par la loi, selon les nouvelles réglementations du royaume.
La réforme du Code pénal est un autre chantier visant la consécration des droits dans notre pays.
A rappeler que le Maroc n'a cessé de reprocher à Amnesty de l'inclure dans ses derniers rapports parmi les 5 pays où la torture est jugée inquiétante par cette l'ONG.
