C’est donc sans surprise que la mairie de Rabat est revenue au Parti de la justice et du développement (PJD). Le candidat dudit parti, Mohamed Seddiki, qui succède à Fathallah Oualalou, a bénéficié de 59 voix contre 21 pour son rival Ibrahim Joumani du Parti authenticité et modernité (PAM).
Longtemps dirigé tour à tour par l’USFP, le MP et l’UC, c’est donc la première fois que la mairie de Rabat tombe dans l’escarcelle du PJD. Une victoire qui s’ajoute à bien d’autres dans les grandes villes telles que Rabat, Casablanca, Marrakech, Agadir, Tétouan, Tanger et Salé.