La convention, qui a obtenu le feu vert du Conseil des ministres espagnol le 8 septembre dernier, répond à la préoccupation -partagée par les deux pays- concernant l'ampleur des phénomènes criminels et les défis à la sécurité posés par la traite des personnes, le terrorisme, le trafic de drogue et les nouvelles manifestations de la criminalité transnationale organisée.
Structuré en un préambule et quinze articles, l'accord réglemente les aspects les plus importants dans le domaine de la coopération, en précisant de manière très détaillée les crimes englobant cette coopération, indique le gouvernement espagnol.
Lire aussi : Maroc-Espagne: une nouvelle étape de coopération
La convention met l'accent sur les dispositions relatives à la lutte contre la criminalité organisée, avec une référence spécifique au terrorisme, ainsi qu'à la coopération dans le cadre des activités opérationnelles et d'enquête des différentes formes de criminalité, ajoute la même source.