«Alors que le Maroc, sous la conduite de SM le Roi Mohammed VI, réalise des exploits diplomatiques dans l’affaire du Sahara marocain avec la reconnaissance des pays membres permanents du Conseil de sécurité de l’autonomie sous souveraineté marocaine, comme l’unique solution, tout le monde a suivi comment la délégation diplomatique algérienne a fêté de manière infantile et hystérique l’élection d’une Algérienne à la vice-présidence de la Commission de l’Union africaine», constate l’éditorialiste du quotidien Al Akhbar de ce mardi 18 février.
Selon le quotidien, «le fait de promouvoir des succès fictifs de la diplomatie algérienne et d’exprimer sa joie de remporter le poste de la vice-présidence de la Commission de l’Union africaine montre clairement à quel point la diplomatie des généraux vit une adolescence tardive et patauge dans un désert d’échecs pour semer la discorde au sein de l’environnement régional. Et ce, en parrainant une entité fictive qui constitue une bombe à retardement, menaçant la paix en Afrique et au niveau mondial puisque ses milices ont été impliquées dans des crimes liés au terrorisme, à la traite des êtres humains, au trafic d’armes, à l’extrémisme, en plus de la torture et l’endoctrinement des enfants».
Après avoir dressé ce constat, l’éditorialiste souligne que «la diplomatie conduite par SM le Roi Mohammed VI consiste à gagner des points au profit de la paix, de la croissance et l’amélioration de la vie des peuples du Maghreb arabe et de l’Afrique, réaliser un décollage économique et accompagner les changements que connaît le monde, en plus de la recherche d’ingrédients et des points forts sur la base desquels se fait la négociation pour accéder au club des grands pays et les concurrencer».
Pour l’éditorialiste, «les pratiques des généraux algériens sur les réseaux sociaux, avec leurs brigades électroniques, ne sont que mousse qui s’évapore».
Ainsi, «SM le Roi Mohammed VI a souligné à plusieurs reprises qu’aucun mal ou trouble ne viendrait jamais du Maroc au peuple algérien, mais la machine infernale des généraux algériens ne cesse de traiter toute chose comportant le nom du Maroc, aussi banale soit-elle, en affaire de vie ou de mort… Une folle équation».