"Les efforts du Maroc pour promouvoir la tolérance -partant de sa tradition historique de protection de sa minorité juive, à la signature de la Déclaration de Marrakech, jusqu'à l'accord d'hier avec Israël- constituent un modèle pour la région et pour le monde entier", a indiqué, dans un communiqué, Mike Pompeo.
"Les États-Unis, Israël et le Maroc ont choisi la paix et le monde en est meilleur", a-t-il poursuivi, notant que la décision de la reprise des relations diplomatiques entre Israël et le Maroc est "une autre étape remarquable vers la paix".
Le chef de la diplomatie américaine a rappelé que le président américain Donald Trump a également "reconnu la souveraineté marocaine sur le Sahara", soulignant que les États-Unis restent convaincus que seules des négociations politiques sont en mesure de mettre fin à ce différend.
Lire aussi : Reconnaissance de la marocanité du Sahara par les USA: le tandem Algérie-Polisario, groggy
"Comme nous l’avons dit depuis longtemps, nous pensons que ces négociations devraient se dérouler dans le cadre du plan marocain d’autonomie", a répété M. Pompeo.
Revenant sur les relations séculaires entre Washington et Rabat, il a rappelé qu'en 1777, le Maroc a été le premier pays à "accorder une reconnaissance diplomatique" aux États-Unis d'Amérique.
"Cette même année, le Maroc a ouvert ses ports aux navires de la nouvelle république américaine, ce qui nous a permis de favoriser nos échanges commerciaux et de soutenir notre lutte pour la liberté. Notre amitié a perduré", s’est félicité le secrétaire d'État américain.
Bienvenue dans l’espace commentaire
Nous souhaitons un espace de débat, d’échange et de dialogue. Afin d'améliorer la qualité des échanges sous nos articles, ainsi que votre expérience de contribution, nous vous invitons à consulter nos règles d’utilisation.
Lire notre charte