L'audition ce lundi des deux derniers accusés dans le procès de Gdeim Izik a été marquée par l'attitude provocatrice d'un avocat français à l'encontre de la cour.
Rien ne l'arrête, même pas les injonctions répétées du président de la cour et des avocats des familles des victimes. Dans une déclaration à le360, Aïcha Lglaa avocate de la partie civile, a dénoncé ce ressortissant français qui défend les thèses des séparatistes à la solde du régime militaire algérien.
Maître Aïcha Lglaa a estimé que la conception et la planification des faits qui sont déroulés au camp de Gdeim Izik ont été élaborées à Alger avant que les autorités algériennes ne confient leur mise en œuvre aux groupuscules séparatistes de Laâyoune.