Dans sa réponse à une question écrite d'un député portant sur la surfacturation des actes médicaux, chirurgicaux et biologiques pratiqués dans des cliniques privées, Khalid Aït Taleb, ministre de la Santé et de la Protection sociale, a reconnu l’existence de plusieurs «abus», résultat, selon lui, de la non-revalorisation des tarifs de références.