Il y a peu, les mensonges grossiers étaient la quasi-exclusivité du président algérien. Mais plus la date de la présidentielle de septembre approche, plus ils sont nombreux, au sein du gouvernement, des partis politiques et de la classe d’affaires, à cautionner les impossibles annonces de Tebboune. De toxique, le président-candidat devient dangereusement radioactif.