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Réalisée par la romancière et essayiste Mouna Hachim, «Marocains dans l’histoire» est votre série qui documente pour Le360 les figures marocaines ayant marqué l’humanité à travers les siècles. Cette semaine, place à Idris ben Koury Cherradi. Il était gouverneur du Touat et représentant du Sultan marocain dans ces oasis orientales après avoir exercé au Tafilalet. Les livres d’histoire retiennent qu’il avait protesté officiellement contre l’occupation française de Aïn Saleh, une des oasis du Tidikilet, tout comme il a dirigé en personne la défense lors de la bataille d’Inghar, à l’ouest d’In-Salah en mars 1900.

Le Manifeste de l’indépendance du 11 janvier 1944? Malika El Fassi l’a signé - elle était la seule femme. Voilà qui fait sens et symbole. Ses mémoires attestent de ses engagements et de ses ferveurs militantes.

Les vrais maquisards, ceux de l’intérieur, ceux qui ont effectivement lutté contre l’armée française, sont indignés. En plus de s’être fait voler l’indépendance par l’armée des frontières, voilà qu’ils doivent supporter d’être assimilés aux imposteurs prébendiers porteurs, tout comme eux, de la carte de moudjahidine.

En Algérie, plus les années passent, et plus le nombre des «anciens combattants» augmente. La question se pose donc de savoir si les moudjahidine algériens sont immortels.

Réalisée par la romancière et essayiste Mouna Hachim, «Marocains dans l’Histoire» est votre série sur Le360 qui documente les figures marocaines ayant marqué l’humanité à travers les siècles. Dans cet épisode, place à Moha Ou Saïd, caïd des Aït Ouirra et l’un des plus célèbres héros de la résistance contre les colons français dans le Moyen Atlas.

Comprendre comment le «Système algérien» s’est établi, c’est comprendre le fonctionnement toujours en vigueur de la gouvernance fragile en Algérie et le marqueur d’hostilité permanente contre le Maroc. Au lendemain de l’indépendance de l’Algérie, les architectes du «Système» ont réprimé les combattants qui ont lutté contre la France coloniale et lancé une offensive militaire contre le Maroc pour sauver le pays du chaos.

Ils ont tout connu, à commencer par la lutte pour l’indépendance. Mais voilà, ils sont tous partis. Il ne reste plus de zaïm.

Haj Hamid Lahlou, affectueusement surnommé «Bassidi» par les habitants de Meknès, était une figure emblématique dans la capitale ismaélienne. Son nom résonne à travers les rues et les quartiers, rappelant son dévouement en tant que résistant et son expertise en tant qu’homme d’affaires émérite.

Réalisée par la romancière et essayiste Mouna Hachim, «Marocains dans l’histoire» est votre nouvelle série sur Le360 qui documente les figures marocaines ayant marqué l’humanité à travers les siècles. Pour ce onzième épisode, place à Mhammed al-Ayyachi, un ascète qui maniait à merveille la plume et l’épée.