Tous les articles correspondant à #Procès

L’affaire de l’«Escobar du Sahara», actuellement jugée à la chambre criminelle près la cour d’appel de Casablanca, continue d’alimenter le suspense. Un vif échange a ponctué l’audience de vendredi entre la défense de Saïd Naciri et le représentant du ministère public. Les détails dans cette revue de presse qui provient du quotidien Assabah.

Vingt ans après, l’affaire de la BNDE refait surface. Son ex-PDG, Farid Derello, a été à nouveau condamné. Cette revue de presse est tirée d’un article d’Al Akhbar.

Jugeant que la loi qui encadre la lutte contre la corruption ne pouvait s’appliquer à un président de la République, les avocats de Mohamed ould Abdel Aziz ont déposé un recours auprès de la Cour d’appel de Nouakchott qui a suspendu le procès, le temps pour le Conseil constitutionnel d’étudier la question.

À Mohammedia, la cliente d’une banque de la ville a bénéficié d’un jugement dans une affaire qu’elle ignorait. Un procès dans lequel un avocat qu’elle n’a pas mandaté a même plaidé en son nom. Une revue de presse du quotidien Al Akhbar.

Le parquet près le tribunal de première instance de Casablanca a décidé de poursuivre Fouad Abdelmoumni en état de liberté. Il est accusé d’outrage à des corps constitués, de diffusion d’allégations mensongères et de signalement d’un crime fictif dont il sait l’inexistence. Son procès démarrera le 2 décembre.

En raison de propos jugés insultants et diffamatoires envers les Amazighs, le youtubeur Ilyas El Malki devra s’en expliquer devant la justice après qu’une plainte collective a été déposée contre lui. Cette revue de presse est tirée d’un article d’Assabah.

Une youtubeuse algérienne, accusée d’avoir incité à la migration massive vers Sebta, lors des événements du 15 septembre à Fnideq, a été condamnée par le tribunal de Tétouan à huit mois de prison ferme et à une amende de 500 dirhams.

L’affaire Martinez Zogo se poursuit au Cameroun mais à pas de tortue. On ne sait toujours pas qui a assassiné ce journaliste qui dénonçait la mal gouvernance dans le pays. Une dizaine d’audiences ont déjà eu lieu mais l’évolution de cette affaire déçoit.

Onze membres d’un groupuscule d’ultradroite comparaissent à partir de lundi devant la cour d’appel de Paris, soupçonnés d’avoir préparé une série d’actions violentes, dont un projet d’attaque contre le président français Emmanuel Macron fin 2018.