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Le Conseil national de l’Istiqlal, dont les travaux ont eu lieu ce samedi 7 décembre à Rabat, a élu par «consensus» son nouveau président en la personne d’Abdeljebbar Rachidi, membre du comité exécutif du parti de la Balance et secrétaire d’État chargé de l’Insertion sociale.

Avec un président de la République d’à peine 40 ans, le Premier ministre Sonko son ainé de dix ans, El Malick Ndiaye élu président du Parlement à 41 ans, le constat est vite fait: la classe dirigeante se rajeunit. Et que dire du trentenaire Jean-Michel Lat Ndam, patron de l’Agence sénégalaise d’électrification rurale? Rien d’autre que la lourde tâche que porte cette jeune équipe de dirigeants sur ses épaules.

Il faut bien un benchmark, comme disent les as du marketing et les consultants de tout poil.

L’Institut royal des études stratégiques (IRES) a publié un tableau de bord stratégique qui fournit un suivi de l’évolution du positionnement du Maroc sur le plan international dans les domaines politique, économique, social, culturel et environnemental. Il y dresse les forces et les faiblesses du pays et émet des recommandations pour améliorer sensiblement son positionnement.

Lors de son entretien ce lundi à Rabat avec Oliver Varhelyi, commissaire européen chargé du Voisinage et de l’Élargissement, le ministre des Affaires étrangères, Nasser Bourita, a adopté un ton direct et exprimé le souhait de voir l’Union européenne manifester, par des actions concrètes, son engagement envers le partenariat stratégique avec le Maroc.

Ce mouvement féministe radical prône quatre grands principes fédérateurs d’une nouvelle vie pour les femmes: pas de couple hétéro, pas de mariage, pas de grossesse, pas de sexe.

La perspective qu’un dirigeant d’Europe du Nord accède, pour la première fois, à la fonction de Haut Représentant pour les Affaires étrangères de l’UE doit interroger les pays méditerranéens sur la politique étrangère des Européens pour les cinq prochaines années, tant la formule napoléonienne selon laquelle «tout pays a l’histoire de sa géographie» illustre la transition qui s’annonce entre l’espagnol Josep Borrell et l’estonienne Kaja Kallas.