Tous les articles correspondant à #Pluies diluviennes

De nouvelles pluies sont prévues le long de la côte est des États-Unis, déjà détrempée mardi, après que des crues subites ont causé deux morts et provoqué de nombreuses perturbations dans la région de New York, où des stations de métro ont été inondées.

À l’approche de la saison des pluies, de juillet à octobre, les habitants de la cité Mbaba Guissé essayent tant bien que mal de se prémunir des inondations qui les coupent du reste du monde: renforcement des murs, aménagement de canaux de drainage de fortune… des initiatives bien insuffisantes.

De mai à fin juillet, il devrait pleuvoir bien de tracasseries sur les commerçants, qu’ils aient pignon sur rue ou marchandises sur trottoir. Les averses rendent les rues impraticables, limitant l’accès aux marchés et aux boutiques de fortune. Sous un ciel gris, les commerçants voient leurs recettes fondre comme neige au soleil.

Les dernières pluies qui se sont abattues dans le Royaume continuent de mettre à nu la défaillance de certaines infrastructures. À Agadir, le mur de clôture d’un lycée s’est complètement effondré, ce qui expose désormais les élèves aux dangers des morsures de chiens errants, des malfrats et d’autres intrus, rapporte le quotidien Al Akhbar, dont est tirée cette revue de presse.

Pour faire face à la tempête Jana, venue du sud de l’Europe, les autorités locales des provinces du nord du Royaume ont mis en place des comités de vigilance et d’urgence, opérationnels 24 heures sur 24 pendant les trois jours d’alerte signalés par les services de météorologie nationale. Une revue de presse tirée d’Al Ahdath Al Maghribia.

Le gouvernement camerounais est résolu à améliorer les conditions de vie des personnes victimes des inondations dans la partie septentrionale du pays. Le ministre de la promotion de la femme et de la famille était dans la région de l’Extrême-Nord pour soutenir les femmes sinistrées.

Le Cameroun, comme plusieurs pays dans le monde, connaît actuellement de graves inondations. Si les scientifiques accusent le réchauffement climatique, il n’en demeure pas moins que les constructions anarchiques dans les grandes villes du pays occasionnent aussi ces inondations.

À la suite de pluies abondantes dans les pays de la sous-région et du lâcher d’eau depuis le barrage de Manantali (ouvrage commun aux États de l’OMVS), des dizaines de milliers de personnes vivant dans les localités de la vallée du fleuve Sénégal, sur une étendue de 700 kilomètres, subissent un désastre majeur causé par les inondations. Du côté mauritanien du fleuve, quatre régions sont touchées : Guidimakha, Gorgol, Brakna et Trarza.

Au moins trois décès ont été enregistrés, ce lundi 14 octobre dans la matinée à Taza et à Kalaa des Sraghna, à cause de fortes pluies qui ont révélé la vétusté des infrastructures, ainsi que des failles majeures d’ores et déjà détectées dans la passation de marchés portant sur des travaux publics. Une revue de presse d’Assabah.