Tous les articles correspondant à #parution

Billet littéraire KS. Ep 27. «Le palais Mawal», de Dominique Eddé, ou la parabole du Liban effondré
Dans «Le palais Mawal», Dominique Eddé nous entraîne au cœur d’une fresque saisissante, mêlant les conflits politiques aux aspirations humaines dans un Liban en perpétuelle tourmente. À travers la vie d’une famille chrétienne fracturée, l’auteur explore les thèmes de la réconciliation impossible, de l’amour, de la violence et du poids écrasant de l’héritage, tout en peignant un pays en quête désespérée de stabilité.
Billet littéraire KS. Ep 26. «Au soir d’Alexandrie» de Alaa El Aswany, ou la dictature de Gamal Abdel Nasser dénoncée
Traduit de l’arabe, «Au soir d’Alexandrie», de Alaa El Aswany, est un roman magistral qui explore la société égyptienne des années 1950-60. Sur fond de contrastes et de conflits, se joue en Égypte la chute de la monarchie du roi Farouk, tandis que s’affirme la montée au pouvoir de Gamal Abdel Nasser. Ainsi, le pays se dirige, au fil des pages, vers un régime militaire de plus en plus autoritaire.
Dans son livre, Jordan Bardella évoque ses vacances heureuses au Maroc auprès de son grand-père
Dans «Ce que je cherche», récit autobiographique de Jordan Bardella, à paraître le 9 novembre aux éditions Fayard, le président du parti français le Rassemblement national se livre à quelques confidences, évoquant notamment ses séjours d’enfance au Maroc.
Billet littéraire KS. Ep 25. «Maroc-France: mensonges et préjugés», de Zakya Daoud, ou les complexités des relations franco-marocaines à travers les siècles
Zakya Daoud plonge dans cinq siècles d’histoire franco-marocaine pour offrir une analyse des relations diplomatiques, culturelles et humaines qui unissent ces deux nations. Au fil des pages, elle évoque autant les tensions actuelles que les figures emblématiques des diplomates, artistes et explorateurs qui ont laissé leur empreinte dans le Royaume.
Billet littéraire KS. Ep 24. «Le ciel carré», de Mohammed Serifi-Villar, ou les Années de plomb d’un marxiste-léniniste
D’un style à la fois lyrique et tranchant, «Le ciel carré» sculpte avec des mots un monde où les rêves sont enfermés derrière des barreaux tenaces, où le souffle de liberté se mêle à la poussière âcre des illusions brisées de cette frange de l’extrême gauche qui voulait faire table rase de tout. Les murs se dressent, impassibles, comme autant de témoins muets. Pourtant, au-dessus, un ciel quadrillé par l’architecture de la liberté laisse percer des éclats de lumière.
Billet littéraire KS. Ep 23. «Le bastion des larmes», d’Abdellah Taïa, ou l’enfance volée
«Le bastion des larmes», d’Abdellah Taïa, est une œuvre intimiste qui explore les thèmes de l’identité, de l’homosexualité, de l’exil et de la douleur. À travers une narration fluide et chargée d’émotion, l’écrivain dresse le portrait introspectif d’un personnage confronté à son passé et à ses désirs.
Xavier Driencourt au Maroc pour présenter son best-seller «L’énigme algérienne»
À l’occasion de l’édition en format poche de son livre «L’énigme algérienne. Chroniques d’une ambassade à Alger», Xavier Driencourt animera quatre conférences au Maroc, respectivement à Casablanca, Fès, Tanger et Marrakech, du 1er au 8 novembre. Dans ce livre choc, l’ancien ambassadeur de France à Alger dresse un portrait au vitriol de l’Algérie contemporaine et du «Système» militaire qui la dirige d’une main de fer.
Billet littéraire KS. Ep 22. «La Porte bleue», collectif, ou l’écrivaine publique enfin retrouvée
Dans ce recueil polyphonique, des femmes venues de divers horizons marocains prennent la parole et, par la magie des mots, deviennent des écrivaines publiques. Certaines d’entre elles, n’ayant jamais appris à lire ni à écrire, mènent une vie modeste et affrontent chaque jour les défis du quotidien pour avancer.
Billet littéraire KS. Ep 21. «Ciné Casablanca, la ville blanche en 100 films», de Roland Carrée et Rabéa Ridaoui, ou la constante métamorphose
En s’appuyant sur une sélection originale de 100 films, «Ciné Casablanca, la ville blanche en 100 films» transcende la simple rétrospective cinématographique pour explorer les transformations sociales, culturelles et architecturales de la métropole marocaine. Chaque film devient une fenêtre ouverte sur les artères animées et les ambiances contrastées de Casablanca, révélant non seulement l’âme de la ville, mais aussi les récits silencieux qui l’habitent.
Billet littéraire KS. Ep 20. «Le désastre de la maison des notables» d’Amira Ghenim, ou le pourquoi du «printemps tunisien»
Traduit de l’arabe, ce roman allégorique, riche en couleurs, traverse un siècle de vie à Tunis, des années 1930 à aujourd’hui. Il retrace l’histoire tragique de deux familles bourgeoises que tout oppose, les Rassaa et les Naifer, liées cependant par un mariage indésirable et un secret d’adultère qui continuent de hanter des décennies plus tard leurs descendants.