Après plus de 60 ans d’exploitation, les propriétaires des parcelles de la palmeraie de Sebkha n’ont toujours pas de titres fonciers, ce qui aiguise bien des appétits. Dans cet espace, unique régulateur climatique d’une ville cernée par le désert, la Société nationale de développement rural a initié un bornage de terrain, synonyme d’accaparement des terres. Il n’en fallait pas davantage pour distiller la peur parmi les cultivateurs de se voir privés de leur gagne-pain.