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Ce lundi 21 octobre, Farhan Haq, porte-parole adjoint de l’ONU, a précisé que le message de l’Envoyé personnel pour le Sahara, Staffan de Mistura, «était que le temps est venu pour le Maroc d’expliquer et de développer sa proposition d’autonomie». Le responsable onusien n’a pas manqué d’enfoncer Alger. Voici comment.

Le Maroc, par la voix de son ministre des Affaires étrangères, Nasser Bourita, a rejeté de manière catégorique l’hypothèse «mort-née» de partition du Sahara marocain, soulevée par Staffan de Mistura, l’envoyé personnel du secrétaire général de l’ONU au Sahara. Tout est de savoir qui a de nouveau soufflé l’idée.

Dans le cadre de la dynamique internationale impulsée par le roi Mohammed VI en soutien au plan d’autonomie et à la souveraineté du Maroc sur son Sahara, la république d’Estonie affirme que l’initiative marocaine d’autonomie est «une bonne base sérieuse et crédible» pour une solution définitive à ce différend.

Le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita, s’est entretenu, vendredi 18 octobre à Rabat, avec le secrétaire général de l’Organisation maritime internationale (OMI), Arsenio Dominguez, en visite de travail au Maroc.

Dans un briefing à huis clos aux allures de baroud d’honneur, l’Envoyé personnel du Secrétaire général de l’ONU révèle avoir sondé le Maroc et le front Polisario sur un éventuel partage du territoire comme solution au conflit. Une idée datant de 2002 déjà, soufflée par l’Algérie de Bouteflika et que le Maroc a rejetée en son temps. Las, Staffan de Mistura se tourne désormais vers la proposition d’autonomie, qu’il souhaite plus détaillée, et fixe un nouveau round des tables rondes… avec l’Algérie.

A l’occasion d’un point de presse tenu conjointement avec le président du gouvernement régional des Iles Canaries, Fernando Clavijo, le ministre des Affaires étrangères Nacer Bourita a adressé trois messages d’une grande teneur à l’UE et aux juges de la Cour européenne, à certaines voix qui critiquent la politique migratoire du Maroc et aux antagonistes dans le conflit du Moyen-Orient. Une revue de presse tirée d’Al Ahdath Al Maghribia.

Nasser Bourita, ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, a rappelé, ce mardi 8 octobre, les paramètres de la position du Maroc sur la question du Moyen-Orient, tels que définis par le roi Mohammed VI.

La question migratoire a occupé une place centrale lors des discussions entre Nasser Bourita, ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, et Fernando Clavijo, président du gouvernement de la communauté autonome des îles Canaries, ce mardi 8 octobre à Rabat.

Le Maroc ne se considère aucunement concerné par la décision de la Cour de justice de l’Union européenne, rendue le vendredi 4 octobre, concernant les accords agricole et de pêche. Pour Nasser Bourita, ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, «ce qui s’est passé au Luxembourg est un non-événement» et «un coup d’épée dans l’eau». Verbatim.