En accueillant le chef des séparatistes du Polisario, le président tunisien a prouvé sa «servilité» à l’égard du régime militaire algérien et «son animosité envers le Maroc». C’est un geste provocateur de Kaïs Saïed, celui-ci ayant «vendu corps et âme son régime aux généraux d’Alger», a estimé l’éditorialiste franco-marocain, Mustapha Tossa.