Des activistes féministes, qui luttent pour les droits de l’Homme et militent pour la réforme du Code de la famille, ont reçu des menaces de mort sur leurs comptes sur des réseaux sociaux. Elles ont de plus été la cible de discours et de fatwas anonymes, diffusées sur la Toile et incitant à la haine. Les militantes d’une ONG ont en conséquence appelé El Hassan Daki, le président du ministère public, à garantir leur protection et les conditions nécessaires à leur sécurité, afin qu’elles puissent exercer en toute liberté leurs droits fondamentaux. Une revue de presse d’Al Ahdath Al Maghribia.