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Le magazine sportif français L’Équipe a découvert le Complexe Mohammed VI de Maâmora, joyau de l’infrastructure sportive marocaine et africaine, ainsi que le vaste chantier du Grand Stade de Tanger, à quelques mois de la CAN Maroc 2025.

L’Office national des aéroports (ONDA) amorce une réorganisation de ses trois pôles majeurs pour renforcer sa performance et préparer le déploiement de la stratégie «Aéroports 2030».

À moins de six mois de la Coupe d’Afrique des Nations 2025, le président de la Fédération royale marocaine de football, Fouzi Lekjaa, s’exprime sur les grands enjeux de cette édition organisée au Maroc. Dans un entretien accordé à L’Équipe, il revient sur les objectifs sportifs, l’accueil des Algériens, la préparation des stades, le défi du Mondial 2030 et la question sensible des binationaux, dont le cas de Lamine Yamal.

Si la cause animale s’invite aussi dans l’organisation de la Coupe du monde de football, c’est parce qu’elle est au cœur des préoccupations politiques et sociétales européennes.

À l’occasion d’une conférence organisée à l’UM6P autour du lien entre sport et climat, Fouzi Lekjaa a réaffirmé l’ambition du Maroc de faire du Mondial 2030, coorganisé avec l’Espagne et le Portugal, un exemple mondial en matière de durabilité et d’inclusion. Un projet national porté par la vision de Sa Majesté le Roi Mohammed VI et fondé sur des engagements écologiques concrets.

Le marché de construction du lot principal du Grand Stade Hassan II, d’un montant estimé à 3,4 milliards de dirhams, a été attribué au groupement marocain SGTM-TGCC. Ce projet d’envergure vise à doter le Royaume de l’un des plus grands stades au monde, en perspective de la Coupe du monde 2030.

Le groupement marocain SGTM/TGCC, seul en lice pour la réalisation du lot 2 du Grand Stade Hassan II de Casablanca, situé à Benslimane, est en passe de décrocher le marché pour un montant de 3,2 milliards de dirhams. Ce projet d’envergure, inscrit dans la perspective de la Coupe du Monde 2030, marque une étape décisive dans l’ambition du Royaume de se doter d’infrastructures sportives de classe mondiale.

À un peu plus de cinq ans de la Coupe du Monde 2030, que le Maroc co-organisera avec l’Espagne et le Portugal, une étude du Centre Marocain pour la Citoyenneté met en garde contre plusieurs dérives sociales et comportements inciviques qui pourraient nuire à l’image du Royaume. Les détails.

À l’aube du Mondial 2030, le Royaume du Maroc mise gros sur le tourisme avec un objectif, ambitieux, de 26 millions de visiteurs. Mais, à l’image des grandes villes européennes confrontées au sur-tourisme, cette dynamique pourrait fragiliser l’équilibre social et urbain, si elle n’est pas encadrée. Entre opportunités économiques et risques de saturation, l’heure est à la vigilance. Cet article est une revue de presse tirée du magazine Challenge.