À l’approche de la rentrée parlementaire, des dissensions profondes et publiques éclatent au sein de la coalition gouvernementale. Le parti de l’Istiqlal, par la voix de son secrétaire général Nizar Baraka, exprime une exaspération croissante face à l’action et aux méthodes de son allié, le RNI, menaçant la cohésion de l’exécutif à un an de la fin de sa mandature. Cet article est une revue de presse d’Assabah.