Tous les articles correspondant à #Liban

Billet littéraire KS. Ep. 64. «Pays amer», de Georgia Makhlouf, ou l’impossible Liban
Georgia Makhlouf tisse un récit à deux voix qui relie, par-delà un siècle, deux femmes libanaises en quête de liberté. À travers le journal intime d’une photographe pionnière des années 1920 et les errances d’une jeune artiste d’aujourd’hui, l’auteure explore la mémoire, l’exil, l’identité et les fractures d’un pays qui oscille entre splendeur passée et déclin présent. Un roman incandescent où la photographie devient un langage de résistance.
Liban: le président dénonce des frappes nocturnes israéliennes ayant fait un mort
Le président libanais Joseph Aoun a dénoncé samedi des frappes nocturnes contre des «installations civiles» dans le sud du pays ayant fait, selon le ministère de la Santé, un mort et sept blessés.
Revue du web. Sidi Kacem: neuf morts et six blessés dans un terrible accident de la route
Sidi Kacem: neuf morts et six blessés dans un terrible accident de la route; Émeutes à Sidi Taibi: 17 individus déférés devant le parquet pour actes de vandalisme et violence; Justice: Sean Combs, alias Diddy, condamné à 50 mois de prison pour transport de personnes à des fins de prostitution; Liban: le chanteur libanais Fadel Chaker se rend après 12 ans de fuite...Roundup.
Billet littéraire KS. Ep. 62. «La Danse du paon», de Hanan El-Cheikh, ou la pantomime libanaise
L’écrivaine libanaise Hanan El-Cheikh déploie dans son dernier roman traduit de l’arabe une saga douce-amère où l’exil devient une chorégraphie heurtée, faite de chagrins, de secrets et de désirs inassouvis. De Beyrouth aux banlieues françaises, de Dakar aux camps de migrants allemands, elle saisit la fragilité des identités métissées et la force obstinée d’aimer malgré tout.
Liban: la Finul dénonce une «grave attaque» de drones israéliens contre des Casques bleus
La Force intérimaire des Nations unies au Liban (Finul) a fait état mercredi de l’une des attaques israéliennes «les plus graves» contre son personnel depuis le cessez-le-feu ayant mis fin en novembre à la guerre entre Israël et le Hezbollah libanais.
Le Polisario chez Bachar Al-Assad: nouvelles révélations sur les crimes de guerre des protégés d’Alger
Une enquête explosive de la journaliste néerlandaise Rena Netjes révèle de nouveau la présence de miliciens du front Polisario aux côtés du régime syrien de Bachar al-Assad en Syrie. Formés par le Hezbollah et soutenus par l’Algérie, ces terroristes auraient participé à des crimes de guerre. Cet article est une revue de presse tirée du portail de l’organisation DAWN (Democracy for the Arab World Now), fondée par Jamal Khashoggi.
Les poètes ont toujours raison
Au moment où le monde entier, y compris l’Allemagne, condamne fermement la décision de Netanyahu d’occuper tout Gaza et d’en chasser les habitants, lesquels meurent quotidiennement sous les bombes israéliennes ou simplement de faim et de soif, au moment où l’écrivain français islamophobe depuis toujours, Michel Houellebecq déclare à Tel-Aviv, son soutien total à Israël, au moment où un député de la Knesset hurle qu’«on peut tuer jusqu’à cent Palestiniens par jour sans avoir aucun problème», je tombe comme par hasard sur un long entretien du poète Mahmoud Darwich, réalisé pour «Le Monde» par Sylvain Cypel.
Le Hezbollah accuse le gouvernement libanais de «livrer» le pays à Israël
Le chef du Hezbollah, Naïm Qassem, a accusé vendredi le gouvernement libanais de «livrer» le pays à Israël en poussant au désarmement de son mouvement et a mis en garde contre une guerre civile, des propositions jugées «inacceptables» par le Premier ministre Nawaf Salam.
Liban: le Hezbollah rejette la décision du gouvernement de le désarmer
Le Hezbollah a affirmé mercredi que le gouvernement libanais avait commis un «péché grave» en décidant du désarmement d’ici fin 2025 et qu’il ferait comme si cette décision «n’existait pas», ses opposants saluant une «décision historique».
Faïrouz, c’est tout ce qu’il nous reste
Il était communiste et probablement athée. Il ne pouvait que vivre à la marge de la marge du monde arabe, condamné à la solitude et au statut d’éternel incompris. Et pourtant.