Ce lundi s’est ouvert à Tunis un mini-sommet tripartite entre les chefs d’État tunisien et algérien, ainsi que le président du Conseil présidentiel de Libye. À défaut de pouvoir instaurer un nouveau regroupement maghrébin sans le Maroc, à cause de l’opposition de la Libye, pourtant présente, et de la Mauritanie, absente, le régime algérien tente de faire émerger un cadre informel où il compte afficher un leadership régional de façade.