La chambre pénale de première instance de la cour d’appel de Casablanca a rejeté, jeudi, la demande de mise en liberté provisoire au profit de 8 individus, dont une femme et le propriétaire d’une clinique privée, Hassan Tazi, poursuivis pour traite d’êtres humains, escroquerie et faux et usage de faux en lien avec des factures de soins médicaux.