Tous les articles correspondant à #France-Algérie

Mauvaise semaine pour Alger
Et pour couronner le tout, à la veille du 1er novembre, fête nationale algérienne, le Conseil de sécurité de l’ONU a décidé de soutenir le plan marocain sur le Sahara occidental. L’Algérie, pourtant membre du Conseil de sécurité n’a pas réussi à empêcher le vote de la résolution… Au total, le 1er novembre 2025 en Algérie a été le symbole d’une double défaite.
L’œil de Gueddar. Accord de 1968 ou quand le régime d’Alger perd ses rentes en France
Coup de tonnerre: l’Assemblée nationale française adopte une résolution dénonçant l’accord franco-algérien de 1968
Ce jeudi 30 octobre, la niche parlementaire du Rassemblement national est parvenue à faire voter par une majorité une résolution dénonçant l’accord d’immigration de 1968 entre la France et l’Algérie.
Le Rapport Rodwell-Lefebvre, un document explosif sur l’Algérie
Ce rapport est explosif parce qu’à sa lecture, on découvre un véritable maquis d’informations et de statistiques éparses, disséminées entre plusieurs administrations: Intérieur, Affaires sociales, Santé, hôpitaux de Lyon ou de Marseille, Affaires étrangères. À chaque étage, c’est la distribution continue des privilèges. Même les observateurs les plus aguerris — dont l’auteur de ces lignes — restent stupéfaits devant l’ampleur des largesses accumulées, année après année, au profit des ressortissants algériens.
L’accord franco-algérien de 1968 coûte 2 milliards d’euros par an à la France, dévoile un rapport explosif
Charles Rodwell et Mathieu Lefèvre, deux députés du groupe parlementaire «Ensemble pour la République» (EPR)– ancien groupe «La Renaissance»– à l’Assemblée nationale, ont présenté en commission des Finances ce 15 octobre, un rapport explosif portant sur l’accord franco-algérien de 1968. Sous les feux des projecteurs, le surcoût massif engendré par les ressortissants algériens sur le territoire français dans le cadre de cet accord à sens unique.
Philippe Bouyssou: un petit consul qui a transformé Ivry-sur-Seine en antenne du Polisario
Sous le vernis de son mandat, Philippe Bouyssou, maire communiste d’Ivry-sur-Seine, mène un double jeu. Fidèle non pas à la France, mais à un séparatisme téléguidé depuis Alger, il a transformé sa ville en laboratoire diplomatique du Polisario. Jumelage douteux, subventions occultes, voyages à Tindouf: le patriotisme municipal se mue en trahison spectaculaire. Portrait du maire qui détourne une ville au profit du Polisario.
Idir Boumertit, le heimatlos député LFI made in DZ
Parachuté en politique, Idir Boumertit incarne l’archétype du politicien franco-algérien qui mine la République de l’intérieur. Fils d’immigrés, ce «député fantôme», absentéiste et incompétent, s’épanouit en promoteur zélé de la mémoire algérienne, défenseur acharné du Polisario et allié servile d’Alger pour attaquer les symboles du Maroc, tout en affichant un antipatriotisme viscéral envers la France qui l’a nourri. Plongée dans l’abîme d’une trahison ambulante.
Jean-Paul Lecoq, le palefrenier d’Alger
Au crépuscule d’une carrière politique terne, Jean-Paul Lecoq, député communiste en France, se révèle comme un zélote infatigable du Polisario et d’Alger. Il a transformé ses mandats en tribunes au détriment des intérêts français. Entre jumelage fictif, lobbies occultes et discours venimeux contre le Maroc, cet opportuniste a tissé une toile lucrative questionnant sa loyauté. Portrait d’une allégeance qui ébranle les fondations du patriotisme.
Les chevaux de Troie d’Alger: quand les associations loi 1901 pro-Polisario sombrent en France
Créées pour donner une vitrine «civile» à la cause du Polisario en France, une dizaine de structures— des associations aux collectifs en passant par les comités locaux— ont longtemps survécu grâce aux financements occultes d’Alger et aux subventions publiques françaises. Mais aujourd’hui, l’argent se tarit, la légitimité s’efface, et leur rôle de courroie de transmission touche à son crépuscule. Leur disparition signe aussi la fin d’une ère d’influence algérienne sur le sol français.
Karim Zéribi, de Marseille à Tindouf: itinéraire d’un cleptomane
Ancien cheminot devenu eurodéputé par accident, chroniqueur télé par nécessité et désormais propagandiste du régime d’Alger par opportunisme, Karim Zéribi incarne l’art consommé du retournement de veste. De ses condamnations judiciaires en France pour vol de biens sociaux à ses sorties pro-Polisario sur les plateaux algériens, il s’est fabriqué une carrière à coups de slogans et de postures, sans jamais offrir d’autre constance que celle de l’intérêt personnel. Retour sur un parcours en zigzag, où l’ambition a toujours pris le pas sur la cohérence.