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Un employé accusé de piratage du système informatique de la société de gestion déléguée Redal a comparu, lundi 2 décembre, en compagnie de quatre autres accusés, devant la Chambre criminelle de premier degré près la Cour d’appel de Rabat. Une revue de presse tirée d’Assabah.

À l’issue de l’élection des instances dirigeantes du groupement des collectivités territoriales Guelmim-Oued Noun, composé de 54 communes, aucune femme n’a accédé au nouveau bureau du conseil mis en place, jeudi dernier. Les détails dans cette revue de presse qui provient du quotidien Al Akhbar.

Face à la rareté de l’eau et à la succession d’années de sécheresse fragilisant le Maroc, la province de Safi intensifie ses efforts pour garantir l’approvisionnement en eau potable, en particulier dans les zones rurales. Parmi les solutions mises en œuvre figure l’installation d’unités mobiles de dessalement de l’eau de mer, spécialement conçues pour répondre à la demande croissante de cette ressource vitale.

À 78 kilomètres au sud de Guercif, les travaux de construction du barrage Targa Ou madi avancent à grands pas. Avec un taux d’avancement de 57%, ce projet hydraulique d’envergure suscite de grands espoirs pour les habitants de la région.

À cause de ses égouts bouchés, ses canalisations mal entretenues et son système d’assainissement liquide défaillant, Tanger se retrouve livrée à l’incertitude: à la moindre forte averse, la ville risque l’inondation. Reportage.

Avec plus de 850.000 hectares déjà équipés en systèmes d’irrigation localisée, le Maroc entend optimiser la gestion de ses ressources hydriques tout en boostant la compétitivité économique de son secteur agricole.

Le Maroc est confronté à un défi majeur: la gestion de ses ressources en eau. Les épisodes de sécheresse se multiplient, mettant à mal ses réserves hydriques. C’est pourquoi le Royaume a décidé de miser sur une solution ancestrale et pourtant d’une modernité redoutable: la collecte des eaux pluviales.

En s’appuyant sur ses 3.500 km de côtes, le Maroc voit grand pour le dessalement de l’eau de mer, ambitionnant de porter sa capacité de production à 1,9 milliard de mètres cubes par an à l’horizon 2030.

Un complexe immobilier aurait été construit sur le cours d’un oued, dont le tracé a été modifié. Les habitants de la zone portent plainte devant la justice, craignant les conséquences d’un tel acte. Une revue de presse d’Al Akhbar.