Tous les articles correspondant à #Droits des femmes

D’Imsouane à la Moudawana
Il est tout à fait normal que des journalistes, des intellectuels, des hommes et femmes politiques discutent du projet de révision de la Moudawana. C’est important pour un pays qui se modernise et qui avance de plus en plus vers l’État de droit de disposer d’un Code du statut personnel en adéquation avec l’évolution de la société.
Le36. EP440. Devant la Brigade, la tragi-comédie d’un rêveur polygame sans épouses ni projets
Un citoyen lambda rumine ses griefs devant la Brigade. Sans fortune ni épouse, devenu soudain le champion autoproclamé de la fronde anti-réforme du Code de la famille, il crie à l’injustice. Polygamie cadenassée? Scandaleux, crie-t-il, même si aucun mariage ne pointe à l’horizon. Partage des biens en cas de divorce? Une hérésie. Travail domestique valorisé? Une trahison. Pourtant, il s’imagine déjà manigancer un mariage «tactique» avec une divorcée richement dotée, dont l’ex-mari deviendrait, «à son insu», le mécène de son train de vie confortable.
Bienvenue à 2025 et à la révision du Code de la famille
Une note d’optimisme et la promesse de grands changements, comme un cadeau du père Noël! La révision du Code de la Famille est une aubaine pour certaines et certains, un cadeau empoisonné pour d’autres!
Réforme de la Moudawana: de quoi cette hystérie est-elle le nom?
La révision de la Moudawana suscite débats passionnés et polarisations idéologiques, entre conservateurs criant au complot et progressistes déçus. Pourtant, l’approche pragmatique de cette réforme initiée par le roi Mohammed VI privilégie la dignité concrète et l’autonomie réelle de millions de Marocains, au-delà de tout clivage.
Moudawana 2024: un pas de plus dans le long, mais inéluctable, défi pour l’égalité
Dans cette tribune, Neila Tazi, parlementaire et actrice culturelle, salue la révision de la Moudawana menée par le roi Mohammed VI, un acte visionnaire conciliant traditions, religion et aspirations universelles. Pour la présidente de la commission des affaires étrangères et de la défense de la Chambre des conseillers, avec la reconnaissance du travail féminin, l’institution de la garde partagée et l’ouverture sur l’héritage, le nouveau texte pose les jalons vers un Maroc plus juste, unifié et inclusif.
Révision du Code de la famille: ce qu’en dit la société civile
Le 24 décembre, la commission ad hoc a dévoilé des propositions de révision du Code de la famille, visant à renforcer les droits des femmes et à moderniser les structures familiales. Le360 a sollicité la réaction de différentes associations féminines. Voici ce qu’elles en pensent.
Revue du web. La Toile réagit au projet de révision du Code de la famille
Du nouveau sur le projet de réforme du Code de la famille; Trois jeunes retrouvés morts dans un appartement de location à Essaouira; Télécoms: le réseau 5G opérationnel au Maroc avant la fin de l’année 2025? Round-Up.
L’impact du changement climatique au centre d’un colloque en présence de l’Internationale socialiste des femmes
L’Organisation des femmes de l’Union socialiste des forces populaires (USFP) a organisé, mercredi à Rabat, en partenariat avec l’Internationale socialiste (IS) des femmes, une conférence internationale consacrée à l’impact du changement climatique, avec une attention particulière portée à ses répercussions sur les femmes.
Féminicides: dans le monde, une femme est tuée par un proche toutes les 10 minutes
En 2023, au moins 85.000 femmes et jeunes filles ont été tuées de manière intentionnelle dans le monde, pour la plupart par des proches, selon des chiffres publiés par l’ONU. Plus de 60% d’entre elles ont été victimes de «leur conjoint ou d’autres membres de leur famille», relève le rapport onusien.
Des ONG féminines contestent la pertinence d’une étude du HCP sur l’égalité dans l’héritage
Un collectif de trois ONG marocaines a exprimé sa profonde inquiétude quant à l’utilisation «hors contexte» d’une enquête du Haut-Commissariat au plan (HCP) datant de 2016, et publiée le 10 octobre, à l’occasion de la Journée nationale des femmes. Cette étude concluait que 86,8% des Marocains s’opposaient à l’établissement d’une égalité entre les femmes et les hommes dans l’héritage.