«Plus de 700 millions de personnes ont souffert de la faim dans le monde l’année dernière. Si ces tendances persistent, plus d’un milliard de personnes seront chroniquement sous-alimentées en 2030, dont la moitié en Afrique». Ces mots du président sénégalais, le 1er septembre à Dakar, suffiront-ils à lever un paradoxe: le continent qui souffre le plus de sous-nutrition possède 60% des terres non encore cultivées au monde?