Tous les articles correspondant à #crédits

Signée récemment par un ensemble élargi d’acteurs publics et privés, la Charte nationale dédiée aux très petites entreprises ambitionne de lever les freins structurels au financement des TPE. En tirant les leçons du programme Intelaka, ce cadre inédit mise sur un accompagnement renforcé, un scoring national et des engagements chiffrés pour transformer durablement un segment qui représente 94% du tissu économique national. Décryptage.

Le Maroc et la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD) ont conclu, le 12 décembre à Rabat, un contrat de financement de 150 millions d’euros pour la dernière phase du projet «Saïss III», destiné à préserver la nappe du Saïss et à sécuriser l’irrigation dans la région.

Près d’une PME marocaine sur deux peine encore à obtenir un financement bancaire, selon une enquête conjointe de la Banque européenne d’investissement et de l’Union européenne. Malgré leur rôle central dans l’économie du Royaume, ces entreprises restent fragilisées par des conditions de crédit jugées trop strictes et des procédures complexes. Un obstacle majeur à leur développement et à leur capacité d’exporter. Cet article est une revue de presse tirée de Challenge.

Les crédits à l’équipement ont bondi de plus de 71% entre 2015 et 2024, reflétant une transformation profonde des priorités d’investissement au Maroc. Si le secteur tertiaire, en particulier la finance et les services, capte l’essentiel des nouveaux financements, l’industrie et l’énergie voient leurs parts reculer, révélant un déséquilibre dans la structure du financement de l’économie.

Daret, une nouvelle application mobile, sera disponible à la mi-septembre sur le Play Store et l’App Store au Maroc. Créée par l’entrepreneur marocain Nabil Chakir, l’application s’inspire de la pratique traditionnelle de la tontine. Son objectif est de digitaliser ce système d’épargne et de crédit pour le rendre plus fiable et accessible à ceux qui n’ont pas accès aux services bancaires classiques.

En réglant plus de 31 millions de dirhams de litiges grâce à un crédit spot de 35 millions, le Raja a levé les blocages qui empêchaient l’inscription de ses recrues. Dans un communiqué publié sur ses réseaux sociaux, le club met en avant le rôle structurant de son partenariat avec Marsa Maroc et trace les premières lignes d’un projet sportif et organisationnel tourné vers la stabilité.

En moins d’une décennie, les crédits bancaires au Maroc ont connu une profonde recomposition: si le tertiaire consolide sa domination, les activités à forte valeur ajoutée comme la finance et l’extraction gagnent du terrain, au détriment de certains secteurs traditionnels.

Pour combler un trou de trésorerie avant l’arrivée des 80 millions promis par Marsa Maroc, le Raja SA a eu recours à un crédit spot de 35 millions de dirhams. Ce prêt bancaire d’urgence, garanti par la solidité du partenariat fraîchement signé, a permis de régler des litiges FIFA, des contentieux locaux et de solder des dettes fiscales héritées de l’ancienne structure associative.

Grâce à son partenariat avec Marsa Maroc, le Raja de Casablanca s’est transformé en société anonyme et a obtenu un crédit spot de 40 millions de dirhams pour répondre à ses urgences financières.