Tous les articles correspondant à #Coupe du monde 2030

Face à un carnet de commandes en forte croissance et des ambitions renouvelées au Maroc comme à l’international, le Groupe TGCC engage une nouvelle phase de développement avec une levée de fonds de 2,2 milliards de dirhams. Objectif: consolider sa trajectoire de leader intégré du BTP en Afrique et préparer l’après-Coupe du monde 2030.

En pleine accélération de son développement, TGCC, un des leaders du BTP au Maroc, prépare une augmentation de capital de 2,5 milliards de dirhams pour consolider son intégration verticale et soutenir notamment l’acquisition du géant STAM-VIAS. Fort d’un carnet de commandes de plus de 10 milliards de dirhams (hors STAM-VIAS), le groupe ne compte pas s’arrêter en si bon chemin et s’affirme ainsi comme un acteur central des projets structurants liés à la Coupe du monde 2030 et au-delà. Entretien avec son fondateur et président-directeur général, Mohammed Bouzoubaâ.

Portés par la dynamique des grands chantiers nationaux et une stratégie d’expansion africaine affirmée, SGTM et TGCC s’imposent aujourd’hui comme les véritables locomotives du BTP marocain. Deux groupes familiaux devenus incontournables, qui incarnent à eux seuls l’ambition industrielle du Royaume. Cet article est une revue de presse tirée de Jeune Afrique.

À cinq ans de la Coupe du monde 2030, que le Maroc coorganisera avec l’Espagne et le Portugal, le royaume entame une série d’investissements massifs dans les infrastructures et mise sur des retombées économiques, sociales et symboliques durables. L’impact attendu sur le PIB, l’emploi et l’attractivité du pays s’annonce considérable. Cet article est une revue de presse tirée de Jeune Afrique.

Le lundi 2 juin, le secrétaire d’État britannique aux Affaires étrangères, David Lammy, et le ministre délégué chargé du Budget et président de la FRMF, Fouzi Lekjaa, ont signé à Salé un partenariat intergouvernemental concernant les infrastructures en vue de la Coupe du Monde 2030.

Reconstruit intégralement, le stade Moulay Abdellah de Rabat sera inauguré dans les prochaines semaines. D’une capacité portée à 68.500 places, il s’impose comme un pilier majeur des grands rendez-vous sportifs à venir.

Ce jeudi 15 mai 2025, le littoral de Dar Bouazza s’est réveillé au son des pelleteuses et des sirènes des forces de l’ordre. En quelques heures, les emblématiques restaurants de plage – certains installés depuis plus de trente ans – ont commencé à tomber, pierre après pierre, dans le cadre d’une vaste opération de récupération du domaine maritime. Ce coup de force, attendu, marque la fin d’un modèle de développement balnéaire toléré des décennies durant, au nom du tourisme et de l’emploi. Désormais, l’État impose un nouveau cap: celui de la légalité stricte, quitte à effacer une part de la mémoire affective du littoral casablancais. Reportage.

Après avoir entamé ces derniers jours, les travaux sur les façades nord et nord-ouest du Grand Stade de Tanger, la société marocaine chargée du projet a lancé une nouvelle phase, en procédant à la pose des premiers sièges dans les tribunes.

La question de la priorisation des investissements dans un contexte marqué par l’organisation de la Coupe du Monde en 2030, revient avec insistance. Cette tribune de Abderrahman Boukhaffa, chercheur et auteur marocain résidant à Ottawa, au Canada, pèse le pour et le contre, tout en soulignant la complémentarité entre la croissance économique et la croissance sociale.