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L’Arménie et l’Azerbaïdjan se sont engagés vendredi à Washington à «cesser définitivement», selon Donald Trump, le conflit territorial qui les oppose depuis des décennies.

L’Arménie a annoncé mercredi la tenue cette semaine aux États-Unis d’un sommet entre le Premier ministre arménien, le président américain et son homologue azerbaïdjanais à Washington, nouvel effort pour s’approcher d’un accord de paix entre Bakou et Erevan.

Ce lundi 5 mai, la Princesse Lalla Hasnaa, présidente de la Fondation pour la sauvegarde du patrimoine culturel de Rabat, s’est entretenue avec Mehriban Aliyeva, Première dame d’Azerbaïdjan, à Bakou.

La princesse Lalla Hasnaa, présidente de la Fondation pour la sauvegarde du patrimoine culturel de Rabat, a visité, dimanche 5 mai à Bakou, le Festival international du tapis d’Azerbaïdjan, qui célèbre le riche patrimoine culturel de ce pays d’Asie occidentale et honore les maîtres-artisans et leur savoir-faire ancestral.

Trois cents milliards de dollars par an d’ici dix ans : c’est la promesse faite par les pays développés dimanche à Bakou pour soutenir les nations pauvres face aux menaces du changement climatique. Cependant, cette annonce, conclue au terme d’une conférence chaotique de l’ONU en Azerbaïdjan, laisse le monde en développement sur une note d’amertume et de déception.

À la conférence sur le changement climatique de l’ONU, à Bakou, en Azerbaïdjan, les négociations se poursuivent ce samedi entre près de 200 pays, après le rejet d’une première offre d’aide financière de la part des États riches.

À la veille de la clôture la conférence climatique de l’ONU à Bakou, en Azerbaïdjan, aucun accord n’a été trouvé concernant le nouvel objectif d’aide financière accordé par les pays riches qu’elle est censée fixer.

Pays riches et en développement ont repris lundi des négociations «à un moment critique» de la conférence sur le climat de l’ONU à Bakou. Objectif: s’accorder sur le financement annuel de 1.000 milliards de dollars d’aide climatique.

Comment accélérer sur le climat sans la première puissance mondiale? C’est le défi posé à quelque 75 dirigeants, en majorité de pays en développement, mardi et mercredi à la conférence climatique annuelle de l’ONU en Azerbaïdjan, une semaine après le séisme du retour au pouvoir de Donald Trump.