Le Sommet arabo-islamique, tenu le lundi 11 novembre en Arabie Saoudite, a dévoilé une nouvelle fois l’impéritie de la diplomatie algérienne. Le mercredi 13 novembre, le ministère des Affaires étrangères algérien a ainsi démenti des propos attribués par un média local au président Tebboune, contenus dans le discours lu en son nom par le ministre Ahmed Attaf devant les délégations du sommet de Riyad. Cette cacophonie traduit la confusion et le désordre qui règnent à Alger, jusqu’au sommet de l’État.