A la veille de ce mois sacré, Le360 s’est rendu dans différents endroits de Salé, dont sa célèbre médina, près de la place Bab Bouhaja (au centre-ville), pour constater de quelle manière les citoyens, dont les commerçants, s’activaient et se préparaient à observer ce mois de jeûne, l’un des cinq piliers de l’islam.
Au marché central, les commerçants ont assuré pouvoir offrir une abondance des marchandises, dont des produits alimentaires de tous genres. Les épiciers, comme les pâtissiers et les bouchers, ont également fait part de la ferveur et de l'enthousiasme des consommateurs pour l’achat de leurs produits.
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Si la viande rouge (bovine et ovine) est vendue à un prix abordable (à 65 dirhams le kilogramme), d’autre produits comme les pâtisseries traditionnelles ont connu «une légère hausse de prix», ont affirmé des commerçants.
L’engouement pour les achats a été également constaté chez les commerçants de vêtement traditionnel (comme les djellabas) et chez les bijoutiers. «Bien que le gramme de l’or a vu son prix grimper ces derniers temps, en raison de l’invasion de l’Ukraine par la Russie, à 425 dirhams, ce métal reste apprécié car il constitue une valeur refuge», a souligné un bijoutier de Salé.
