A la veille de cette rencontre, dans une déclaration devant Le360, le politologue Taj Eddine Al Hosseini met l'accent sur "l'implication" du régime algérien dans ce conflit, et souligne que l'étape de Genève est un moment propice pour les pourparlers, sachant que le Maroc vient de tendre la main à l'Algérie pour mettre à plat les divergences bilatérales, via un mécanisme de dialogue voulu "franc et direct".
Selon Al Hosseini, les adversaires du Maroc "tiennent malheureusement un discours (datant) de la guerre froide, celui de l'impasse et du statu quo".
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L'étape de Genève, à laquelle participe une importante délégation marocaine, conduite par le ministre des Affaires étrangères, Nasser Bourita, ouvre ainsi la voie à des pourparlers. "Il ne s'agit pas de négociations", a précisé le professeur Al Hosseini.
Cette table ronde sera présidée par l'Envoyé personnel du SG de l’Onu pour le Sahara, Horst Köhler.