Vidéo. Installation de Ghita Lahlou El Yacoubi, en tant que nouvelle consule générale honoraire du Japon

Ghita Lahlou El Yacoubi et Shinozuka Takashi, ambassadeur du Japon au Maroc, à Casablanca, le 24 novembre 2021. 

Ghita Lahlou El Yacoubi et Shinozuka Takashi, ambassadeur du Japon au Maroc, à Casablanca, le 24 novembre 2021.  . Khalil Essalak / Le360 (capture image vidéo)

Le 25/11/2021 à 12h44

VidéoL'ambassadeur du Japon au Maroc, Shinozuka Takashi, a installé hier soir, mercredi 24 novembre 2021, la nouvelle consule honoraire du Japon à Casablanca, Ghita Lahlou El Yacoubi, femme d'affaires, et vice-présidente de la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM).

«Je suis convaincu que cette nomination est d'une réelle opportunité pour le Japon, pour le Maroc et pour la région de Casablanca», a déclaré l'ambassadeur japonais, dans une allocution prononcée à l'occasion d'une réception à laquelle ont participé de nombreuses personnalités du monde diplomatique, des affaires et de la culture.

Shinozuka Takashi a en outre invité, au nom de son pays, la nouvelle consule honoraire -qui remplace Larbi Belarbi- à contribuer à renforcer «les excellentes relations entre les deux pays et aussi entre Casablanca et le Japon».

«J'ai une fascination pour le Japon et c'est l'une des raisons qui m'ont poussé à accepter cette mission», a affirmé, de son côté, Ghita Lahlou El Yacoubi, qui a aussi promis de mettre toutes ses compétences «pour travailler pour [son] pays et le Japon, deux pays leaders en Asie et en Afrique».

La nouvelle consule honoraire a aussi indiqué que les deux pays avaient encore un long chemin à parcourir «ensemble en matière économique et industrielle» afin que le Maroc consolide «sa compétitivité décarbonisée, son aéronautique, son automobile, ses semi-conducteurs, le textile, l'agro-alimentaire et la transition énergétique».

Directrice générale d'une grande école à Casablanca, Ghita Lahlou El Yacoubi est l'une des vice-présidentes de la CGEM depuis 2020, et membre de la Commission spéciale sur le modèle de développement (CSMD).

Par Mohamed Chakir Alaoui et Khalil Essalak
Le 25/11/2021 à 12h44