«Je ne refuserai jamais la pension de retraite exceptionnelle que sa Majesté m’a accordée», a d'emblée affirmé l’ex-chef de l’Exécutif (et du PJD), devant une douzaine de journalistes réunis, ce samedi 2 février, à son domicile situé au quartier les Orangers, à Rabat.
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Qualifiant de «honteuses» les critiques de ses détracteurs, Benkirane s’interroge: «Peut-on refuser ce que nous donne le Roi ?». «J’avais pensé à travailler et je suis capable de le faire. Or, le souverain m’a offert cette pension. Que veulent-ils», se demande-t-il, perplexe.
«J’aurais pu accepter les critiques de mes détracteurs si j’avais moi-même demandé cette pension à El Othman et au gouvernement, je ne l’ai pas fait», a-t-il clarifié, rappelant que le souverain avait aussi mis à sa disposition une garde rapprochée dont il bénéficie toujours.
