Depuis plusieurs mois, et à l'initiative du ministère de l’Intérieur, les juridictions administratives ont décidé la dissolution de plusieurs conseils communaux ou l’invalidation de l’élection de quelques élus.
Et c’est reparti pour des élections partielles, un véritable test pour les partis politiques, tout particulièrement dans le monde rural.
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On apprend ainsi que le 21 mars prochain, des élections vont avoir lieu pour renouveler la totalité des élus de la commune rurale de Sidi Lahcen, dans la province de Taourirt. Le conseil de cette commune a été renvoyé, par décision judiciaire, le 26 décembre 2018.
À la même date, un scrutin similaire aura lieu à la commune rurale de Sidi El Makhfi, dans la province d’Ifrane, pour renouveler le conseil dissous le 11 octobre 2017, également sur décision de la justice administrative.
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Dans la province de Meknès, les électeurs sont rappelés aux urnes pour élire 10 nouveaux membres de la commune de Moulay Idriss Zerhoun.
Et un peu plus loin dans le Moyen Atlas, la même échéance sera organisée pour désigner neuf nouveaux élus.
Le mode de scrutin de ces élections est uninominal.
